lundi 24 juin 2013

Les gentils-pasfins chauffeurs d'autobus



 Le plus difficile quand on écrit une chronique sur son quotidien, c’est bien sûr nos lecteurs. Parce que vous êtes à la fois mes lecteurs et mes sources d'inspiration, quelques uns plus fan que d’autres mais pour la plupart vous faites parti de mon environnement quotidien, du théâtre de ma vie. Je suis très préoccupée (même si certains le lirons ceci avec un sourire en coin) de ne pas vous choquer. Je ne veux pas choquer mais je m’amuse à soulever quelques uns de nos travers humains. Et je suis sûre que vous avez déjà tenter d’identifier, si je parlais de vous ou du voisin. Parfois cela est évident mais quelques fois, disons que je m’efforce d’y modifier quelques évènements pour ne pas vous entendre dire:  Hihihihihi Le Flamant Rose parle de toi !!!. 
 
Douée, je crois d’un humour « singulier », c’est pas tout le monde qui apprécie et quelques fois lorsqu’on s’y frotte, on s'y pique.  Quelques personnes (mais vraiment pas beaucoup) ont osées m’en reparler,  et je me suis surprise de l’interprétation toute personnelle qu’ils en faisaient. Parfois, j’ai aussi eu peur de vous froisser et je me suis retenue... oui oui retenue !

L’être humain est pour moi toujours un éternel sujet de fascination et je crois qu'il l’a toujours été. Déjà toute petite, je me souviens lors des rencontres familiales, que je pouvais passer des heures à regarder mes oncles, mes tantes,mes parents et grands-parents jouer aux cartes pendant que normalement, nous les petits, devions aller jouer dans le sous-sol. Et je restait là, à les regarder, à tenter de comprendre le jeux mais surtout à regarder comment ils se comportaient. À cette époque là, c’était bien inconscient mais j’étais quand même fasciné par les bébittes que nous sommes.

Et j’en ai fait mes études, ma profession et ma passion.  J’ai passé ma vie sur les bancs universitaires, jusqu’en 2010; je dévore toujours toutes les infos que je trouve sur « les internets »;  pour me détendre, j’écris un blogue qui parle de nos travers humains; et lorsque je me détend, je lis des bouquins qui sont des thrillers psychologique noirs. Vraiment, je m’en sors pas beaucoup !  Ah oui, j’en sors quelques fois pour aller faire un petit jeu virtuel, de mémoire ou de quête qui demande déduction et cocologie, l’intelligence artificielle m’intéresse mais est-ce vraiment surprenant ???

Alors  ma question de départ est: "Comment je peux parler de vous sans que vous vous sentiez attaqué, ridiculisé ou même juste un peu ébranlé ou que vous ne vous transformiez pas en inspecteur Jobidon à tenter d’identifier tout les gentils mais surtout les ti-pas fins qui m’entourent ???"

 Parce que, dans le fond, si ce que je dis est gentil… on s’en préoccupe un peu moins ou on s’identifie avec un grand sourire, ça fait toujours du bien de se faire dire qu’on est du bord des gentil. Mais si on est identifié dans le genre des ti-pasfins, ça c'est moins drôle.  Mais je peux vous dire que pour moi nous sommes tous de « gentils pasfins » nous avons tous nos travers, nos bons et  mauvais jours. Même le pire des égocentriques peut vous faire un cadeau… bien sûr il aura choisit celui qu’il voudrait avoir mais ça demeure...  un cadeau !

Comment faire, comment faire pour tout dire sans vous le dire.. eh bien !!! Eureka !!! Je vais vous parlez de mes chauffeurs d'autobus !!!  Ils sont parfois professionnels, parfois imbéciles. Ils sont parfois discrets, parfois bavards comme des pies. Ils sont parfois d'une perspicacité débordante et parfois de gros naïfs. Ils sont parfois d'une compagnie très agréable et je ferais le tour de la ville avec eux... et parfois je trouve ça dont ben loin de me rendre à destination... Alors vous aurez tout le loisirs chaque fois de vous demander: "Quel genre de chauffeur d'autobus,  je suis ???"  Parce que l'important c'est....

Ni rire, ni pleurer, comprendre...



                                             Spinoza 

 


 

Le Flamant Rose... à suivre... en autobus !

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